Bonjour chers amis, créateurs culturels et cellules imaginales émergentes,
Les réverbérations de la chanson du Nouvel An, Auld Lang Syne, résonnent encore dans ma tête. Les mots auld lang syne sont une expression archaïque qui signifie simplement « un temps passé depuis longtemps ».
Pour une minorité très bruyante aux États-Unis, Auld Lang Syne évoque une image d'une époque où, et je cite, une Amérique « blanche » existait. Je défie la conscience très limitée de ces retours en arrière racistes, homophobes et que je considérerais « néandertaliens », en m'excusant auprès des « vrais » Néandertaliens.
La raison pour laquelle les « blancs » se sont présentés en Amérique du Nord était leur croyance en un « monde utopique », une civilisation fondée sur la paix, le bonheur et l'égalité des chances. L'idée d'un monde utopique était un principe philosophique fondamental de la Siècle des Lumières, dont les idées dominaient la culture européenne dans les années 1700.
A cette époque, les nations d'Europe avaient une stricte conscience de classe, une classe supérieure et une classe inférieure. La classe inférieure était la « couche nourricière » qui soutenait les désirs et les besoins de leurs maîtres de la classe supérieure. Les gens de la classe inférieure étaient généralement comme des « esclaves » car ils devaient leur survie à la classe supérieure. L'appartenance à une classe était basée sur la famille biologique. Né dans la classe ouvrière… signifie que vous serez toujours la classe ouvrière !
Le personnage du « monde utopique » recherché était en fait un concept basé sur une étude des Indiens d'Amérique du Nord par Jean Jacques Rousseau, l'un des principaux architectes des Lumières. Plus précisément, Rousseau s'est concentré sur les sept tribus amérindiennes qui ont créé une confédération connue sous le nom de nation iroquoise. Reconnaître l'unité des royaumes matériel et spirituel était un principe fondamental régissant l'utopie des Indiens d'Amérique du Nord. La culture des Amérindiens et des Autochtones des Premières nations (c.-à-d. les Indiens du Canada) a intégré les domaines physique et énergétique et, ce faisant, a créé une harmonie environnementale, mieux exprimée comme le concept du Jardin.
Les Européens blancs ont immigré en masse pour faire l'expérience de ce qui allait devenir, le rêve américain. La partie malheureuse de l'histoire est que les Blancs ont essentiellement décimé les millions d'indigènes dont ils sont venus imiter la vie. L'accent actuel de notre civilisation sur le domaine matériel, représenté dans notre culture comme de l'argent, et le déséquilibre en laissant de côté le domaine spirituel, a amené notre monde au bord de la sixième extinction massive de la vie sur cette planète.
La science des frontières a souligné que notre survie dépend de nous pour retourner à nos racines autochtones qui ont souligné la croyance que les humains ne font qu'un avec la nature. Les peuples autochtones reconnaissent et honorent les « esprits » de l'air, de l'eau, des roches, des plantes et des animaux et, plus important encore, leur nature spirituelle. Heureusement, bon nombre des traditions perdues de nos ancêtres sont encore disponibles chez les quelques autochtones restants qui habitent notre planète. Les Amérindiens, les Premières Nations, les tribus africaines, les Indiens d'Amérique du Sud et les Aborigènes australiens détiennent encore les secrets pour vivre en harmonie avec la planète.
Il y a dix ans, j'ai écrit ce qui suit dans un chapitre pour une compilation de livres intitulée : Guérir notre planète, nous guérir : le pouvoir du changement intérieur pour changer le monde (2005). «Nous devrions créer un projet international pour honorer ces personnes et nous devrions nous asseoir à leurs pieds pour apprendre leurs idées vitales sur les secrets de la nature. Lorsque nous retournons à nos racines autochtones, "La puissante lumière qui a été bannie reviendra." Je ne suggère pas que nous abandonnions notre technologie, enfilions des pagnes et campions dans les bois. Je suggère plutôt que nous ainsi que notre technologie doit apprendre à vivre en harmonie avec notre mère, notre chère Terre.
J'ai eu la chance de travailler avec une communauté des Premières nations d'Indiens cris en Colombie-Britannique et en Alberta, au Canada, au cours des deux dernières années. Cela a été une collaboration qui a transformé ma vie au cours de laquelle j'ai expérimenté et appris certaines des manières honorables dont ces vrais humains honorent la nature et les uns les autres. Si la civilisation marchait simplement dans ses mocassins, nous pourrions résoudre nos crises environnementales mondiales et vivre à nouveau dans le Jardin.
Cette année en accueillant la nouvelle année et en chantant Auld Lang Syne, je me concentrais sur l'Amérique d'un "temps lointain". Une époque où une civilisation respectueuse de la nature s'occupait du jardin, bien avant que «l'Amérique blanche» ne détruise l'harmonie et la santé de notre environnement.
La belle leçon que j'ai vécue est que pour évoluer, il faut revenir aux racines de nos ancêtres et honorer la nature spirituelle de notre univers physique (qui est en fait la leçon offerte par la physique quantique !). Pour y arriver, nous devons d'abord reconnaître et honorer le fait que chacun de nous est une entité spirituelle habitant un corps physique.
Honorer est le fondement de l'harmonie.
J'honore chacun de vous. Merci d'être ouvert à entendre, ce que je considère être, une voie plus positive vers un avenir durable et sain.
Avec amour et lumière,
Bruce
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