La survie du plus généreux,
nos cellules nous font la leçon...
deur Miriam Gablier
700 persone word deur Dr Bruce Lipton, in Parys en September 2011 by Phytoquant, aangebied. Ce chercheur américain en biologie cellulaire, souligne entre autres, combien la coopération a été essentielle dans l'evolution du vivant.
Afin d'élaborer des formes complexes de vies, nos cellules ont dû déveloper une conscience aigüe des fonctionnements communautaires. Elles ontplacé leur intelligence au niveau de la membrane cellulaire – que le Dr Lipton nomme «le véritable cerveau de la cellule» – afin d'être réactives à leur environnement et ontpris à collaborer. Sur fond d'épigénétique et de biologie systémique, Lipton suggère même que, telles les milliards de cellules qui se sont regroupées pour former le premier être multicellulaire, les humains doivent apprendre à cooperer pour survivre, afin qu de former multi- nouvel ê 'on pourrait appeler « Humanité ».
L'Epigénétique, une nouvelle vision du dialogue entre les genes et l'environnement
L'environnement est maintenant considéré comme un facteur incontournable dans la vie de nos cellules. Die "tout est dans les gènes" is 'n reeks remis en question. Lipton nous explique by voorbeeld que dans les chromosome, l'ADN est recouvert de proteines régulatrices qui le rendent onmoontlik à lire. Et ce n'est pas l'ADN qui décide, d'un coup d'un seul, de pousser les proteines qui le recouvrent pour se montrer. Les proteïnes régulatrices ne s'enlèvent qu'avec un signal de l'environnement. As gevolg hiervan is die aktiwiteit van die proteïen wat beheer word deur die teenwoordigheid of die afwesigheid van die proteïene, wat die beheer van die omgewing beheer.
L'épigénétique verander profondément la compréhension de la vie cellulaire. « Déjà, nous explique Bruce Lipton, il est possible de creer plus de 2000 variantes de proteines à partir d'une même matrice génétique. Mais surtout, de très nombreuses études montrent que les facteurs environnementaux, notamment l'alimentation, le stress et les émotions, peuvent non seulement altérer la duplication du matériel génétique, mais modifier les gènes eux même. (1) » L'utilisation et l'état du matériel génétique seraient donc fortement influencé par l'environnement.
Et cette invloed pourrait être transmise d'une génération à une autre ... ou encore, être annulée. Une étude menée à l'université de Duke et publiée dans Molecular and Cellular Biology (2), démontre qu'une alimentation enrichie peut annuler des mutations génétiques chez la souris. La mère peut être diabétique et la fille en bonne santé. D'autres études on établi que l'environnement intervenait dans une variété de maladies, dont le cancer, les maladies cardiovasculaires et le diabète. « En fait, renchérit le Dr Lipton, seul 5% des patients atteints de cancer or the maladies cardiovasculaires peuvent réellement imputer leur maladie à l'hérédité. (1)»
Die membraan sellulêre, le véritable cerveau de la cellule
Le Dr Lipton, dans ses recherches, 'n tout particulièrement travaillé sur l'intelligence de la membrane. Dit is 'n oorlewende hangertjie sonder 'n nuwe hanger en 'n deux mois. En aftree-le noyau de cellules, il a vu qu'elles maintiennent un fonctionnement coordonné de leurs system physiologiques (respirasie, vertering, uitskeiding, motiliteit, ens ...). Elles peuvent encore communiquer, elles sont capables de se protéger et de croitre de façon appropriée, en réponse aux stimuli du milieu ambiant. La raison pour laquelle elles finissent par mourir, est que sans l'ADN, elles ne peuvent ni se reproduire ni remplacer les protéines affaiblies. Le noyau n'est donc pas le cerveau de la cellule, mais sa gonade. "Confondre gonade et cerveau est une erreur excusable vu que la science a toujours été un domaine patriarcal, conclu ironiquement Bruce Lipton (3)". D'après lui, la membrane est réellement celle qui capte les informations du milieu, décide lesquelles peuvent rentrer ou pas dans l'espace intra cellulaire et régule les fonctions internes de la cellule. « 'n L'instar du system nerveux, die membraan sellulêre ontleding van die milliers de stimuli van mikromilieu, vir Bruce Lipton. Die kapasiteit van die interaksie "intelligente" het die omgewing wat die membraan bevat, en die veritable cerveau de la cellule. Lorsque vous détruisez la membraan, la cellule meurt. Sans les proteïnes réceptrices ou effectrices enchâssées dans la membraan, elle devient comateuse, comme une mort cérébrale. (1)» A savoir aussi : la cellule individuelle, étant également capable d'apprendre de son milieu, cree une mémoire cellulaire qu'elle transmet à ses descendants, comme par exemple des anticorps présents dans la membraan.
Mise en commun de l'intelligence cellulaire – à l'encontre de la vision Darwinienne de la « lutte pour la survie »
L'histoire d'une cellule semble surtout être celle de la maximization de sa capacité d'intelligence. Quand les cellules ont atteint leur taille maximale et pour devenir plus intelligentes, elles se regropent pour former des communautés multicellulaires. Elles begin alors à se partager les tâches et à se specialiser. Les avantages de la vie communautaire on mené à des kolonies de millions, de milliards, de millions de milliards de cellules socialement interactives... pour en arriver à former des mammifères et des hommes. Nous sommes faits de cette coopération, sans elle, il n'y a pas de vie. “Il ya ya 150 ans, nous explique Bruce Lipton, Charles Darwin conluait que les organismes vivants sont perpétuellement engagés dans une «lutte pour la survie», principale «force motrice» de l'évolution. Mais le premier scientifique à avoir établi les fondements scientifiques de l'évolution est le biologiste français Jean Baptiste de Lamarck. Nie seulement Lamarck présenta sa théorie 50 ans avant Darwin, mais il élabora une théorie des mécanismes d'évolution beaucoup moins aide. Selon lui, l'évolution est née d'une interaction « leersaam » et coopérative entre les organismes et leur environnement. Selon lui, die organismes wat verkry word en transmettent les aanpassings nécessaires à leur survie dans un environnement en changement. L'hypothèse de Lamarck est conforme à la vision moderne des biologistes cellulaires. (1)» 'n artikel à ce propos a d'ailleurs été publié dans Science « Was Lamarck net 'n bietjie reg? » (4)
La biologie systémique, jusqu'au partage des gènes entre espèces
Les scientifiques ont longtemps remarqué des relations simbiotiques dans la nature. Dans «Darwin se blindekol» (5), die dokter Britannique Brian Ryan vertel verhoudings. Il parle notamment d'un type de crevette qui entasse sa nourriture hanger que son partenaire, un gobie, la protège des predateurs. Ou encore une espèce de bernard-l'ermite qui transporte une anémone rose sur sa coquille qui peut lancer ses tentacules avec une microscopique battery de dards empoisonnés pour protéger son hôte. Un article paru dans Science (6), «Ons kom oor die weg met 'n bietjie hulp van ons (klein) vriende», montre que les biologistes prennent de plus en plus conscience du fait que les animaux ont coévolué, en explorant diverses combinaisons de coopérations nécessaires à la santé et au développement.
L'étude de ces relations est maintenant un domaine en plein essor appelé la «biologie systémique». 'n Voorbeeld van 'n klassieke klassiek van mikro-organismes vir die mensdom is die bakterieë van die niere stelsel digestif, wat noodsaaklik is om te oorleef. Ek het 10 tot 100 fois plus die bakterieë in die ingewande van die selle in die wêreld. D'où la blague qui dit que les bactéries ont inventé l'homme pour aller sur la lune ! Les bakterieë qui se trouvent dans notre intestin, quand le milieu y est favorables pour elles, tuent les autres organismes qui ne sont pas en harmonie avec cette symbiose entre elles et nous. Cette coopération nous permet de bénéficier d'une protection très efficace et offre à nos hôtes un lieu de vie adapté. Die plus, 'n grande party de notre digestion est prys en charge par cette micro flore. Ces bactéries ne sont pas nos ennemis, bien au contraire, sans elles nous ne pourrions pas survivre.
Il existe encore un pas vers plus de coopération : il semblerait que des organismes d'espèces différentes partagent leurs gènes. Cette donnée bouleverse alors notre définition de qu'est ce qu'une espèce. Explications du Dr Lipton: « Les scientifiques réalisent que les gènes se transmettent non seulement entre les membres individuals d'une espèce, mais aussi entre les membres d'espèces différentes. Le partage de l'information génétique par transfert de gènes accélère l'évolution puisque les organismes peuvent acquérir l'expérience «apprise» à partir d'autres organismes. Etant donné ce partage des gènes, on ne peut plus concevoir les organismes comme des entités isolées. Il n'y a donc pas de mur entre les espèces. (1) » Daniel Drell, verantwoordelik vir program du génome microbien au département américain de l'énergie, concédait à la revue Science (7) qu'il n'est plus possible de définir avec certitude ce qu'est une espèce. Ce phénomène de dispersion du patrimoine génétique a deséquences assez importantes. Il existe déjà une étude révélant que lorsque les humains ingèrent des aliments génétiquement modifiés, les genes artificiels modifient le caractère des bakteries de l'intestin, qui travaillent en simbiose avec nos sellules...
Les mammifères sont des êtres fondamentalement coopératifs
L'éthologie, l'étude du comportement des différentes espèces animales, démontre largement que la propension à vivre en communauté se retrouve à toutes les échelles de l'évolution. « L'altruisme et la capacité à vivre en communauté sont aussi très importants dans le monde mammifère, nous explique Bruce Lipton. On sait que les mammifères s'entraident constamment, de manière spontanée et désintéressée. Un chimpanzé va en aider un autre même s'il sait qu'il n'y aura pas de récompense. Des études menées sur le comportement d'enfants de moins de 3 ans, même avec des bébés, mettent en évidence leur préférence pour la coopération. Un dispositif utilisé a été de mettre de très jeunes enfant devant un spectacle de marionnette dans lequel un personnage essaye de monter une pente. Arrivent un 2ème personnage qui essaye de le pousser vers le bas et enfin un 3ème qui l'aide à remonter. A la fin de l'histoire les différentes marionnettes sont données aux enfants pour qu'ils jouent avec et en très, très grande majorité, les bébés ne jouent qu'avec les marionnettes qui ont coopéré pour monter la pente et ne touche pas qui a les empêchés de monter. Et ce n'est qu'un dispositif parmi tant d'autres. (8)» Dans «L'âge de l'empatie», die primatoloog Frans de Waal montre que l'empathie mobiliseer des régions du cerveau vieilles d'au moins cent millions d'années. Die konklusie en disant « Hormis un très petit pourcentage d'humains (les psychopathes), l'empathie vient natureellement à notre espèce. (9)»
Une nouvelle étape, une communauté humaine appelée l'Humanité ?
Lipton soutien le fait que, par la coopération, nous pourrions passer à un nouveau stade évolutif afin de former un nouvel être multi-humain : « Si on reconnaît que l'humanité est notre destination, pas l'humain tout seul, l'humanité qui serait un super organisme de 6 à 7 miljard d'individus, comme des cellules dans un corps, on prend conscience qu'on ne travaille pas que pour nous. Op travaille pour la communauté, et la communauté nous le rend. Quand op revient à cette het essentielle et fondamentale qu'est la nécessité de coopérer gekies, op peut descendre nos barrières, op peut abattre les murs. C'est pour ça qu'il ya un changement radikale dans le monde en ce moment, parce qu'à 7 miljard d'individus, ça ne peut pas marcher si chacun n'est centré que sur lui. Soit on coopère, soit on se dit au revoir et c'est fini. Et nous sommes à ce carrefour, dans l'evolution. L'amour est la nature même de la vie. C'est insoutenable de ne pas être relié à l'autre. Non seulement tous les organismes vivent en communauté, mais ils vivent en symbiose avec des communautés d'autres règnes. (8) » Die Britse wetenskaplike Timothy Lenton het 'n voorstelle gepubliseer, 'n artikel in die natuur (10). Ce scientifique adhère à l'hypothèse Gaïa, de James Lovelock, selon laquelle la Terre et la totalité des espèces qui l'habitent constituent un vaste organisme vivant en interaction. « Stel jou voor dat 'n bevolking van miljarde mense lewendig is, wat 'n mens is, in 'n goeie tyd, nous dit vir Dr Lipton. Une telle communauté existe : il s'agit du corps humain en bonne santé. Die toute évidence les communautés cellulaires fonctionnent mieux que les communautés humaines. Si l'humain modelait son style de vie sur celui des communautés cellulaires saines, nos sociétés et notre planète seraient plus paisibles et plus dynamiques. La survie du plus généreux est la seule éthique apte à nous assurer une vie personnelle saine sur une planète saine. Servez vous de l'intelligence cellulaire pour hisser l'humanité au prochain échelon de l'évolution, où les plus généreux ne font pas que survivre, mais s'épanouissent. (1) »
(1) Extraits van « La biologie des croyances », Bruce Lipton, ed Ariane
(2) Waterland et Jirle, 2003 «Transponeerbare elemente: teiken vir vroeë voedingseffekte op epigenetiese geenregulering», Molekulêre en Selbiologie.
(3) Extrait de la conférence du Dr Lipton, sept 2011, Parys, organisée par Phytoquant
(4) Balter M. « Was Lamarck net 'n bietjie reg? », Wetenskap 2000
(5) Ryan F. «Darwin se blindekol: evolusie verby natuurlike seleksie», Houghton Mifflin 2002
(6) Ruby, B. Henderson et al. «Ons kom oor die weg met 'n bietjie hulp van ons (klein) vriende», Science 2004
(7) Pennisi «Sequenties openbaar geleende gene», Science 2001
(8) Uittreksel van die onderhoud deur Dr Lipton deur Miriam Gablier en Maxence Layet vir le DVD de Jean Yves Bilien – «L'impact de notre environnement et de notre état d'esprit sur notre santé»
(9) De Waal F. « L'âge de l'empatie », ed Broché
(10) Lenton TM «Gaïa se natuurlike seleksie», Nature 1998
Bruce Lipton is skrywer van wetenskaplike artikels en die deux livres passionnants: « La Biologie des croyances » ed Ariane en « Evolution spontanee », ed Ariane
Pour plus d'information, voir le documentaire de Jean-Yves Bilien sur le Dr Lipton – «L'impact de notre environnement et de notre état d'esprit sur notre santé»
http://www.filmsdocumentaires.com/films?search=Lipton